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Shadi Guadirian

Expositon à la Cartonnerie du 20 février à la fin avril 2006

Extrait d’un article de Jean Pierre Perrin du journal Libération décembre 2005 :

" La photographie Iranienne ose nous dire ce qui se passe vraiment en Iran, avec une impertinence frôlant parfois la rébellion. Shadi GUADIRIAN en donne un exemple. Sa série « Comme chaque jour » nous montre des femmes en tchador avec un ustensile ménager pour tout visage. Une façon de témoigner de leur soumission aux exigences d’un quotidien écrasant qui les condamne à cet anonymat de routine et à une identité émiettée. « Peut être, explique Shadi Guadirian, que la seule représentation que se fait un étranger de la femme Iranienne est un tchador noir. Jusqu'à présent, j’ai fait beaucoup de photos qui témoignent que les femmes sont des citoyennes de seconde classe et de la censure dont elles sont victimes ".

Inutile de préciser que l’humour de la jeune femme- elle a 30 ans- n’a guère été apprécié par les autorité de Téhéran.




 
 
 

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